Expiation du parjure par un sacrifice (Boissard, Th. vitæ humanæ) - Th. De Bry
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Analyse
« Lorsque quelqu’un, après avoir été mis sous serment comme témoin, péchera en ne déclarant pas ce qu’il a vu ou ce qu’il sait, il restera chargé de sa faute. Lorsque quelqu’un, sans s’en apercevoir, touchera une chose souillée, comme le cadavre d’un animal impur, que ce soit d’une bête sauvage ou domestique, ou bien d’un reptile, il deviendra lui-même impur et il se rendra coupable. Lorsque, sans y prendre garde, il touchera une souillure humaine quelconque, et qu’il s’en aperçoive plus tard, il en sera coupable. Lorsque quelqu’un, parlant à la légère, jure de faire du mal ou du bien, et que, ne l’ayant pas remarqué d’abord, il s’en aperçoive plus tard, il en sera coupable.
Celui donc qui se rendra coupable de l’une de ces choses, fera l’aveu de son péché. Puis il offrira en sacrifice de culpabilité à l’Eternel, pour le péché qu’il a commis, une femelle de menu bétail, une brebis ou une chèvre, comme victime expiatoire. Et le sacrificateur fera pour lui l’expiation de son péché. » (Lévitique, 5, 1-6.)
1. « Non assumes nomen Dei in vanum », tu ne prendras pas le nom de Dieu en vain.
Informations techniques
Notice #015323