Chant IV (Phrosine et Mélidore, 1772) - Baquoy d’après Eisen
Notice précédente Notice n°4 sur 4
Analyse
C’est la nuit. Mélidore allume le phare juste avant qu’une tempête ne se lève. Mélidore prie pour la sécurité de Phrosine. Malheureusement, la tempête éteint le phare. Un bateau arrive, mais il contient à son bord Jule, et non Phrosine. Jule explique qu’il a vu sa sœur nageant à travers le détroit, et qu’il est parti à sa poursuite. Phrosine a alors nagé vers son bateau car elle a confondu la torche de Jule avec le phare. Jule a refusé de la laisser monter à bord et l’a laissée se noyer. En entendant ces mots, Mélidore se jette à la mer pour sauver Phrosine, et parvient à ramener sa bien-aimée à terre. Jule, se repentant, accepte finalement le mariage des amoureux, tout comme Aimar, qui a finalement survécu à ses blessures.
1. Signé sous la gravure à gauche « Ch. Eisen. inv. », à droite « C. Baquoy. sculp. »
Informations techniques
Notice #012994