M.M. au parloir (Mémoires de Casanova, fig. 27) - d’après Julius Nisle

« On m’avait fait entrer dans le petit paroir, où je l’avais vue avec la comtesse. J eme suis mis à genoux devant elle ; mais elle me dit vite, vite d eme lever parce qu’on pouvait me voir. Sa physionomie devint dans l’instant toute en feu. Elle s’assit, je me suis assis devant elle, et nous passâmes ainsi nous entre-regardant un bon quart d’heure. J’ai enfin rompu le silence lui demandant si je pouvais compter sur ma grâce, et elle mit s abelle main hors de la grille ; je l’ai baignée de mes larmes la lui baisant cent fois. »