Mondor jouit (Juliette, I, fig. 9)
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Analyse
« Il fallait, pendant que le vieillard m’enculait, 1° que sa gouvernante, armée d’un immense godemiché lui rendît le même service ; 2° qu’une des filles, agenouillée sous moi, excitât beaucoup de bruit dans mon con en le branlant avec sa langue ; 3° qu’un beau cul s’offrît à chacune de ses mains ; 4° enfin, que les deux filles qui restaient élevées à califourchon, la première sur mes reins, la seconde sur les reins de celle-ci, en chiant toutes deux à la fois, inondassent de merde, l’une la bouche du paillard, l’autre son front ; mais chacune, tour à tour, remplit ces deux derniers rôles, toutes chièrent, même la vieille ; toutes me branlèrent, toutes enculèrent Mondot, qui, cédant aux titillations de plaisir dont nous l’enivrions, darde enfin au fond de mon anus les déplorables jets de sa défaillante luxure. » (Pléiade, p. 324.)
1. Au-dessus de la gravure à gauche « T. V », à droite « P. 288. »
Informations techniques
Notice #005799